Les études économiques ont pour objectif de donner au lecteur une vue d’ensemble macroéconomique ainsi qu’un inventaire des secteurs porteurs en termes d’exportation.  Elles répertorient également les secteurs clés qui offrent des opportunités importantes pour nos entreprises exportatrices belges.
  • Étude économique Afrique du Sud (septembre 2013)

    L’Afrique du Sud est dotée de richesses naturelles considérables, sur base desquelles elle a forgé son économie, comme en témoignent ses exploitations agricoles modernes et son activité minière intensive. Le pays offre également une panoplie de services, notamment financiers.

    L’amélioration continue de ses infrastructures en matière de transport, d’énergie et de communication est l’une des priorités du gouvernement actuel, en réponse aux besoins grandissants de modernisation et de la place prépondérante que le pays occupe sur la scène commerciale internationale.

    Lors de la mission en Afrique du Sud du 20 au 27 octobre 2013, qui sera la première menée par SAR la Princesse Astrid, trois secteurs parmi les plus dynamiques seront mis en avant : les diamants, les infrastructures et les énergies renouvelables.

    Cette étude a été réalisée à l’occasion de la mission économique conjointe en Afrique du Sud qui a eu lieu en octobre 2013.

  • Étude économique Angola (septembre 2013)

    Cette étude a été réalisée dans le cadre des missions princières en Angola et en Afrique du Sud en septembre 2013.

    Un « diamant brut » tel est probablement le meilleur terme pour définir l’Angola. Le pays est en effet une mine de richesses naturelles, mais qui doit encore être exploitée de manière durable.

    Outre ses ressources pétrolières et minières, sa situation géographique et sa topographie lui offrent un secteur primaire prospère tant au niveau de la pêche et de l’agriculture qu’en ce qui concerne les capacités énergétiques naturelles. 

    Le pays a affiché une croissance économique remarquable ces dix dernières années, ce qui lui a permis d’être la troisième économie africaine.

    Lors de la mission en Angola, trois secteurs parmi les plus dynamiques seront mis en avant : l’énergie, les infrastructures et la construction ainsi que les diamants. 

  • Étude économique Arabie saoudite (janvier 2014)

    Première économie du Moyen-Orient, l’Arabie saoudite affiche des perspectives de croissance solide, avec une moyenne annuelle de 4,9 % pour la période 2014-2017, poussées par la consommation et les investissements, privés comme publics.

    Les recettes pétrolières en hausse ont en effet permis au pays d’adopter en 2013 le budget le plus important de son histoire, culminant à 221 milliards d’EUR et prévoyant des dépenses 19 % plus élevées qu’en 2012.

    Indépendamment des oléoducs et des raffineries, la diversification de l’activité économique du pays est une des priorités du gouvernement. Les secteurs pharmaceutique, de la construction, ainsi que des énergies renouvelables et de l’éducation se développent progressivement et se révèlent un potentiel alléchant pour les investisseurs étrangers.

    A l’occasion de la mission économique conjointe en Arabie saoudite qui se tiendra du 14 au 21 mars 2014, l’Agence pour le Commerce extérieur a publié une étude pays. La première partie est consacrée à la situation macroéconomique du royaume, alors que la deuxième analyse trois domaines dynamiques présentant de nombreuses possibilités commerciales : les infrastructures et la logistique, l’énergie et les soins de santé. Elle aborde ensuite quelques réussites récentes de sociétés belges en Arabie saoudite.

  • Étude économique Argentine (juin 2018)

    Malgré les difficultés de la dernière décennie, l'Argentine reste la 21ème puissance économique mondiale. Alors que les perspectives macroéconomiques à long terme, en dépit de pics soudains, semblent aujourd’hui sous contrôle et que l'Argentine peut à nouveau emprunter sur les marchés internationaux, le pays dispose d’un énorme potentiel. Une nouvelle phase de croissance est donc en train de se profiler, et plus qu’hier, cette croissance se basera également sur la coopération avec d'autres pays.

    Cette étude a été réalisée dans le cadre de la mission princière en Argentine et en Uruguay en juin 2018.

  • Étude économique Australie (octobre 2023)

    La position unique de l’Australie avec un fuseau horaire proche des marchés asiatiques constitue un atout pour qui souhaite développer ses activités dans l’Indopacifique. Le pays ne se limite pas à un hub régional mais offre également un marché compétitif avec une population à fort pouvoir d’achat. En effet, la douzième économie du monde connaît, à l’exception de la période de la crise sanitaire, une croissance continue s’étalant sur plus de trente années. L’étude consacre un chapitre relatif au secteur des ressources naturelles et des énergies renouvelables ainsi qu’au secteur de la santé en Australie.

    Dans un contexte géoéconomique complexe, l’Australie cherche à diversifier ses partenaires et à sécuriser ses échanges avec le reste du monde. Economie ouverte et prospère, celle-ci est particulièrement interconnectée aux chaînes de valeur mondiales. Depuis le début du siècle, le pays a mené une politique commerciale volontariste en concluant de nombreux accords de libre-échange avec des marchés-clés dans l’Indopacifique. L’accord de libre-échange attendu entre Bruxelles et Canberra renforcera les opportunités offertes par l’Australie aux entreprises belges.

    L’étude a été réalisée par l'Agence pour le Commerce extérieur qui organise, avec ses partenaires le SPF Affaires étrangères, l’AWEX, hub.brussels et Flanders Investment & Trade, une mission économique conjointe en Australie du 19 au 28 octobre 2023, sous la Présidence de S.A.R. la Princesse Astrid, Représentante de Sa Majesté le Roi.