Les études économiques ont pour objectif de donner au lecteur une vue d’ensemble macroéconomique ainsi qu’un inventaire des secteurs porteurs en termes d’exportation.  Elles répertorient également les secteurs clés qui offrent des opportunités importantes pour nos entreprises exportatrices belges.
  • Étude économique Mexique (janvier 2019)

    Le Mexique dispose d’un important marché intérieur qui se développe grâce aux réformes prévues dans l’ambitieux programme Pacto por México. En outre, le pays bénéficie également d’un vaste réseau d’accords commerciaux internationaux. De nouveaux accords sont également en discussion avec l'Union européenne, de même qu’avec les États-Unis et le Canada. C'est donc un moment idéal pour porter toute son attention sur ce marché.

    Cette étude a été réalisée à l’occasion de la mission économique conjointe au Mexique qui a eu lieu en février 2019.

  • Étude économique Nouvelle-Zélande (octobre 2012)

    En raison de son isolement géographique, la Nouvelle-Zélande abrite une faune et une flore très particulières dont une bonne partie est endémique. Outre la richesse de sa biodiversité, son secteur primaire est florissant que ce soit au niveau de la pêche, de l’agriculture, de l’exploitation forestière et même en ce qui concerne les réserves énergétiques naturelles.

    Au cours des 20 dernières années, le gouvernement a réussi à transformer cette Nouvelle-Zélande agraire, isolée géographiquement et économiquement, en une économie industrialisée et de libre échange. À l’instar de nombreux pays anglo-saxons depuis les années 90, la Nouvelle-Zélande a connu une période de très forte croissance au cours des années 2000 jusqu’à la crise économique mondiale où le recul de son économie est resté relativement restreint.

    Outre ses ressources naturelles et son secteur primaire, le pays est également doté d’une industrie cinématographique renommée internationalement sans oublier l’importance du secteur de la construction et des infrastructures.

    Lors de la mission économique en Nouvelle-Zélande, qui sera menée par SAR le Prince Philippe du 27 au 30 novembre 2012, ces secteurs seront placés au centre de l’attention.

    Cette étude a été réalisée à l’occasion de la mission économique conjointe en Nouvelle-Zélande qui a eu lieu en novembre 2012.

  • Étude économique Oman (février 2014)

    Oman connaît depuis 40 ans une période de développement économique sans précédent. Ce « boom » coïncide avec le règne du Sultan actuel Qaboos bin Said al-Said, qui a accédé au pouvoir en 1970, et repose en grande partie sur les revenus du secteur pétrolier (production et exportation). En 2012, ce dernier représentait près de 50 % du PIB.

    L'importante dépendance à l'égard de l'or noir expose en effet le pays aux fluctuations du cours boursier du baril de pétrole brut. C'est dans ce contexte que le Sultanat a lancé dès 1995 le plan Vision 2020, une stratégie à long terme articulée autour de trois concepts clés : “la diversification économique, l’omanisation et la privatisation”.

    Les piliers de cette politique ont ensuite été développés et mis en oeuvre par le biais des différents plans quinquennaux, dont le plus récent couvre la période 2011-2015.
    Pour 2013-2017, l’Economist Intelligence Unit table sur une croissance annuelle moyenne de 4,6 % qui, selon les données de la Banque centrale d’Oman, sera soutenue à concurrence de 70 % par l'essor du secteur non pétrolier.

    A l’occasion de la prochaine mission économique conjointe en Oman (14-21 mars 2014), l’Agence pour le Commerce extérieur a publié une étude « pays » dont la première partie est consacrée à la situation macroéconomique de l’Oman, alors que le deuxième chapitre constitue une analyse de trois domaines dynamiques présentant de nombreuses possibilités commerciales : les infrastructures et la logistique, l'énergie et l'environnement ainsi que le secteur bancaire. Elle aborde ensuite quelques réussites récentes de sociétés belges en Oman.

  • Étude économique Pérou (septembre 2014)

    Terre gâtée par la nature, le Pérou ne manque pas d’atouts pour séduire les investisseurs. La croissance remarquable enregistrée depuis 2000 lui a valu le surnom flatteur de « Tigre des Andes ». Son bulletin macro-économique affiche par ailleurs d’excellents paramètres, comme une inflation maîtrisée, une dette publique enviée et des réserves de changes très confortables.

    Preuve de sa grande ouverture à l’international, le Pérou multiple les accords de libre-échange et attire les investisseurs étrangers. La simplification des procédures et l’abaissement des barrières tarifaires dopent les relations commerciales et facilitent l’accès des entreprises au marché, notamment par le biais du traité bilatéral signé avec l’Union européenne au printemps 2013.

    Le Pérou gravit d’année en année les échelons au sein des différents classements jugeant l’attractivité ou la compétitivité des pays. C’est également la deuxième nation sud-américaine la mieux cotée par les agences de notation.

    A l’occasion de la mission économique conjointe qui se déroulera du 18 au 25 octobre 2014, l’Agence pour le Commerce extérieur a publié une étude pays. La première partie est consacrée à la situation macroéconomique du Pérou, alors que le deuxième chapitre constitue une analyse de quatre secteurs dynamiques présentant de nombreuses possibilités commerciales: les mines,  l’énergie, les infrastructures et l’agro-industrie. Elle aborde ensuite quelques réussites récentes de sociétés belges au Pérou.

  • Étude économique Qatar (février 2015)

    Hôte de la Coupe du Monde de football 2022, l’émirat du Qatar a mis sur les rails un programme colossal de modernisation de ses infrastructures sportives, hôtelières et de transport, largement financé grâce à ses ressources en hydrocarbures.

    Derrière les oléoducs et gazoducs, garants de l’opulence actuelle du pays, se cache en outre un potentiel de diversification considérable, qui nécessite des investissements dans la formation, la recherche et le développement.

    Le Qatar aspire à passer d’une économie de rente pétrolière et gazière à une économie de la connaissance et du savoir. Pour relever ce défi ambitieux, il devra sans nul doute s’adjoindre des partenaires compétents.

    A l’occasion de la mission économique conjointe qui se déroulera du 21 au 27 mars 2015, l’Agence pour le Commerce extérieur a publié une étude pays. La première partie est consacrée à la situation macroéconomique du Qatar, alors que le deuxième chapitre constitue une analyse de quatre secteurs dynamiques présentant de nombreuses possibilités commerciales : les hydrocarbures, les cleantechs, la construction et la santé. Elle aborde ensuite quelques réussites récentes de sociétés belges dans le pays.