Les études économiques ont pour objectif de donner au lecteur une vue d’ensemble macroéconomique ainsi qu’un inventaire des secteurs porteurs en termes d’exportation.  Elles répertorient également les secteurs clés qui offrent des opportunités importantes pour nos entreprises exportatrices belges.
  • Étude économique Pérou (septembre 2014)

    Terre gâtée par la nature, le Pérou ne manque pas d’atouts pour séduire les investisseurs. La croissance remarquable enregistrée depuis 2000 lui a valu le surnom flatteur de « Tigre des Andes ». Son bulletin macro-économique affiche par ailleurs d’excellents paramètres, comme une inflation maîtrisée, une dette publique enviée et des réserves de changes très confortables.

    Preuve de sa grande ouverture à l’international, le Pérou multiple les accords de libre-échange et attire les investisseurs étrangers. La simplification des procédures et l’abaissement des barrières tarifaires dopent les relations commerciales et facilitent l’accès des entreprises au marché, notamment par le biais du traité bilatéral signé avec l’Union européenne au printemps 2013.

    Le Pérou gravit d’année en année les échelons au sein des différents classements jugeant l’attractivité ou la compétitivité des pays. C’est également la deuxième nation sud-américaine la mieux cotée par les agences de notation.

    A l’occasion de la mission économique conjointe qui se déroulera du 18 au 25 octobre 2014, l’Agence pour le Commerce extérieur a publié une étude pays. La première partie est consacrée à la situation macroéconomique du Pérou, alors que le deuxième chapitre constitue une analyse de quatre secteurs dynamiques présentant de nombreuses possibilités commerciales: les mines,  l’énergie, les infrastructures et l’agro-industrie. Elle aborde ensuite quelques réussites récentes de sociétés belges au Pérou.

  • Étude économique Qatar (février 2015)

    Hôte de la Coupe du Monde de football 2022, l’émirat du Qatar a mis sur les rails un programme colossal de modernisation de ses infrastructures sportives, hôtelières et de transport, largement financé grâce à ses ressources en hydrocarbures.

    Derrière les oléoducs et gazoducs, garants de l’opulence actuelle du pays, se cache en outre un potentiel de diversification considérable, qui nécessite des investissements dans la formation, la recherche et le développement.

    Le Qatar aspire à passer d’une économie de rente pétrolière et gazière à une économie de la connaissance et du savoir. Pour relever ce défi ambitieux, il devra sans nul doute s’adjoindre des partenaires compétents.

    A l’occasion de la mission économique conjointe qui se déroulera du 21 au 27 mars 2015, l’Agence pour le Commerce extérieur a publié une étude pays. La première partie est consacrée à la situation macroéconomique du Qatar, alors que le deuxième chapitre constitue une analyse de quatre secteurs dynamiques présentant de nombreuses possibilités commerciales : les hydrocarbures, les cleantechs, la construction et la santé. Elle aborde ensuite quelques réussites récentes de sociétés belges dans le pays.

  • Étude économique Russie (février 2011)

    Diversification, modernisation et ouverture d'esprit caractérisent actuellement l'économie russie. La Russie dispose non seulement d'un territoire énorme, mais également de réserves d'énergie conséquentes qui lui ont permis de devenir une des grandes puissances mondiales. Crise économique oblige, il est important que la Russie développe également d'autres secteurs d'activité. Cette étude donne une vue d'ensemble de la situation économique russe actuelle et des projets du pays pour l'avenir. Nos entreprises belges pourront saisir les nombreuses opportunités économiques qui se présentent. La lecture de cette étude constituera une première étape vers la Russie.

    Cette étude a été réalisée à l’occasion de la mission économique conjointe en Russie qui a eu lieu en avril 2011.

  • Étude économique Sénégal (mai 2023)

    Deuxième économie de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), le Sénégal devrait connaître une croissance du PIB de 8% en 2023 et de plus de10% en 2024. Cette croissance attendue est révélateur d’une économie et d’un pays en plein développement. L’Union européenne est le premier fournisseur et le deuxième client du Sénégal. La Belgique est un partenaire important et reconnu du pays. Le Sénégal se positionne comme la porte d’entrée de l’Afrique de l’Ouest.  Il investit dans des infrastructures modernes et bénéficie d’une stabilité reconnue mondialement.

    Les investisseurs sont attirés par les réformes encourageant le monde des affaires ainsi que par les opportunités qu’offre le pays. Fort de cette attractivité, l’Etat sénégalais est soucieux d’assurer un développement endogène et inclusif en bonne intelligence avec ses partenaires internationaux. Pour ce faire, le pays peut compter sur une économie diversifiée et sur des ressources naturelles abondantes.

    C'est dans ce contexte que l'Agence pour le Commerce extérieur, avec ses partenaires le SPF Affaires étrangères, l’AWEX, hub.brussels et Flanders Investment & Trade, organise une mission économique conjointe au Sénégal du 21 au 25 mai 2023, sous la Présidence de S.A.R. la Princesse Astrid, Représentante de Sa Majesté le Roi.

    Consultez notre étude pour une analyse de l'économie sénégalaise.

  • Regardez également les interviews relatives à la mission au Sénégal en mai 2023 :

    Interview avec S.E. Baye Moctar Diop, Ambassadeur du Sénégal en Belgique (mai 2023) :

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    Interview avec S.E. Hubert Roisin, Ambassadeur de Belgique au Sénégal (mai 2023) :

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